Voir l’Aura – la meilleure forme de Communication (partie 2)
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L’Aura est la plus simple forme de communication expressive, qui permet à chacun de nous de comprendre ce que l’autre ressent, dans le moment précis où nous nous posons la question.
À travers l’étude du langage du corps on peut apprendre à ne pas montrer aux personnes qui nous entourent ce que nous pensons, par exemple la réaction spontanée que nous aurions dû avoir après des mots qu’on nous a dit, ou le comportement que nous aurions eu dans de situations difficiles que nous n’attendions pas si nous n’avions pas été attentifs aux détails. Les personnes qui étudient le langage non verbal sont conscients que les expressions du visage et les mouvements du corps communiquent plus que beaucoup de mots, pour cette raison ils passent des années à s’entraîner pour apprendre à seconder avec le corps ce qu’ils disent avec la voix : pour apprendre à mentir à la fois avec les mots et le corps. Les vendeurs, par exemple, étudient attentivement l’attitude à prendre au cours de l’approche avec le client, parce que la position droite, les mouvements sûrs et le regard toujours droit et attentif, les rend des personnes sérieuses et fiables aux yeux des autres, malgré qu’ils soient en train de vendre un chiffon fétide au prix de l’or. Si le vendeur avait un langage du corps tendu, nerveux, incertain et impressionnable par le premier client un peu plus rusé que les autres, personne n’achèterait rien chez lui, même s’il vendait de l’or pour peu de centimes. Les mouvements du corps sont très importants, parce que nous faisons comprendre aux gens devant nous si nous sommes compatibles avec eux ou pas ; pour cette raison il y a d’études spécifiques de communication non verbale, parce que, apprenant à reconnaître le style de l’autre personne et ses gestes, nous pouvons les imiter et faire semblant d’être plus proches d’elle, afin qu’elle nous considère plus synergétiques et compatibles, se sentant enfin poussée à acheter ce que nous vendons par pure sympathie envers nous. Au fond, c’est simplement de la psychologie. Mais il y a quelque chose qu’on ne peut pas cacher : l’aura !
En effet, bien qu’on puisse apprendre à réagir aux stimulations d’une façon différente par rapport à comment nous aurions fait, devenant plus rigides aux émotions et faisant semblable d’être détachée malgré dedans nous souffrons, ou vice-versa, l’expression de l’aura est tellement immédiate et inconsciente qu’elle n’est pas du tout facile à contrôler et gérer. Ceux qui étudient en psychologie ou étudient le langage du corps à un niveau très avancé, peuvent s’approcher très vaguement à comprendre que outre la posture et les gestes du corps il y a quelque chose en plus, mais dans les faits ils ne comprennent pas de quoi il s’agit et ils n’apprennent pas à la modifier, sinon très peu. Heureusement ! Certains spirituels, pourtant, qui connaissent les capacités de l’aura, peuvent modifier l’aspect des premières couches d’énergie pour tromper le monde autour de lui. Voilà la raison pour laquelle nous devons absolument apprendre à voir les auras et à les connaitre au mieux : pour empêcher même au plus expert de nous arnaquer avec ses méthodes hypnotiques.
Quand nous nous trouvons dans un contexte très positif pour nous, où nous nous sentons à l’aise entourés par de personnes que nous apprécions et qui nous font du bien, notre aura s’élargit et s’épand vers toutes les directions, parce qu’elle rayonne et asperge du bonheur, littéralement. Quand au contraire nous nous sentons pas à l’aise, énervés, dans un ambiance où nous nous sentons moqués ou jugés, notre aura s’abaisse et rétrécit, comme si elle commençait peu à peu à disparaître. Tout cela est visible avec les yeux, et il est nécessaire d’apprendre à voir l’aura pour pouvoir reconnaître les émotions des autres que, malgré ils se croient invisibles, en réalité on peut les voir clairement. Bien qu’elles n’apparaissent pas comme de petites nuages qui contiennent le nom du sentiment écrit dedans, il est évident que les émotions se manifestent à travers des formes en mouvement et des couleurs qui apparaissent à l’imprévu dans l’aura. L’aura, en effet, peut changer de couleur aussi très vite, selon le sentiment dominant du moment, ou selon la période que la personne est en train de vivre. En tout cas, l’aura est composée de plusieurs couches et certaines d’entre eux ne changent pas souvent de couleur, pendant que des autres changent continument.
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Retirons de notre tête l’idée que l’aura standard d’une personne normale soit celle qui est typiquement représentée dans n’importe quelle image sur le web, où tout le monde possède une aura identique à celle déjà dessinée par des autres, avec toutes les couches parfaitement lisses et compactes, sans aucune imperfection ni tâche de couleur. Selon ces personnes, chacun de nous doit avoir forcément 7 couches d’aura, étant celle-ci une loi très rigoureuse, parce que le numéro 7 est beau, significatif, et personne n’a le droit d’avoir plus de 7 couches, autrement on les censurera afin que les gens ne sachent pas qu’on peut avoir plus de niveaux et de dimensions. Mais ne le dites à personne !
Ces trucs sont désormais vieux, ouvrons notre esprit et rendons-nous compte que beaucoup des informations qu’on nous donne sont transmises par de personnes qui n’ont aucune expérience, mais qui parlent et racontent ce que, à leur tour, ils ont entendu par de faux gurus qui n’ont jamais passé plus de 5 minutes à regarder les auras. Ils n’aiment pas la liberté que l’énergie a par nature, ils ont besoin d’une structure rigide, ils prétendent de pouvoir organiser tout sous forme de bizarres lois humaines pour fermer l’univers dans une cage en métal, pour pouvoir le comprendre mieux. On ne peut pas comprendre l’univers si on a l’esprit fermé ! On ne peut pas renfermer l’énergie dans une boîte en espérant qu’il n’y a pas besoin de connaître de choses en plus ! L’énergie est libre, elle n’a pas de règles, elle n’a pas de fermetures, on ne peut pas la compresser dans une petite fiole, on ne peut pas l’obliger à devenir quelque chose de compréhensible pour nous. C’est à nous d’ouvrir notre esprit pour embrasser les nouvelles expériences et les assimiler pour ce qu’elles sont. Voilà ce que c’est l’aura. Elle n’a pas de contraintes et peut muer d’un moment à l’autre. Elle est difficilement parfaite, et moins encore celle des personnes qui ne pratiquent pas.
L’aura est composée de différentes couches et généralement les personnes en possèdent plus de 5, malgré il y aie toujours l’exception des personnes gravement malades. Une personne en bonne santé qui vit une vie saine possède normalement plus de 8 couches. Certaines d’entre eux changent de couleur très souvent, parce qu’elles appartiennent au domaine des émotions qui, évidemment, change d’un moment à l’autre selon les stimulations qu’on reçoit pendant la journée. La couleur du bonheur est différente de la couleur de la souffrance, mais on ne peut pas baser sa compréhension de l’aura sur la différence de couleur, parce que c’est trop limité pour expliquer les changements qui poussent l’énergie à changer. N’oublions pas qu’on est en train de parler d’énergie et de dimensions, non pas de crayons colorés sur le papier. Par conséquent, outre à la regarder et juger de l’aspect, nous devons aussi la percevoir et en extraire les informations dont nous avons besoin pour la connaître pour de vrai.
Pendant les premières sessions de vision de l’aura il est très difficile d’en voir de détails précis, parce que nous ne sommes pas habitués à voir l’énergie, et nos yeux nous empêchent de voir tout et soudain. La vision soigneuse de l’aura dépend de l’entraînement que nous faisons, et non pas du temps qui s’écoule entre une session et la suivante, puisque cela ne fait que nous ramener à la case de départ, perdant les progrès qu’on avait faits.
Comme on est aujourd’hui seulement à la deuxième leçon basée sur la technique de vision de l’aura, je ne m’y attends pas que tu saches en reconnaître les niveaux ou localiser soudain les trous et les imperfections de ton champ énergétique, donc il ne faut même pas que tu t’y attend de savoir le faire maintenant. Le début est difficile pour tout le monde parce qu’il s’agit de faire un entraînement qu’on n’a jamais fait avant. Tu ne peux pas t’y attendre de savoir faire le grand écart si tu ne t’es jamais entraîné avant : tu ne peux pas le faire, parce que ton corps n’est pas habitué à cet effort et t’empêchera de descendre plus d’une certaine limite. Si tu désires atteindre d’importants buts tu dois t’entraîner, parce que autrement tu continueras à ne pas savoir faire le grand écart en disant que c’est inutile, que c’est toi le problème, que tes jambes ne sont pas bonnes pour faire certaines actions, qu’il est impossible de prendre cette position et que personne n’y arrivera jamais parce que c’est trop compliqué. Arrête tes plaintes dictées par la paresse et ouvre les yeux, si tu as intention de voir la réalité à laquelle tu es prêt à t’ouvrir.
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Plutôt que prétendre tout et maintenant, apprends à voir l’aura pas à pas, surmontant les petits obstacles qui réussissent à tenir bloquée la plupart des gens. Pour t’aider à reconnaître l’aura et à te concentrer mieux sur sa forme et ses couleurs, j’ai décidé de dessiner pour toi ce que je vois avec mes yeux quand je regarde les auras. N’oublie pas que je n’ai pas commencé hier, mais il y a quelques années, et que j’ai une passion et un intérêt irrépressible à connaître la vérité de toutes les façons dont elle se montre, à la différence de ceux qui aiment lire des définitions théoriques mais ne supportent pas de les mettre en pratique. Pour cette raison je te conseille de ne pas te démotiver, si tu ne réussiras pas à voir en peu de jours ce que j’ai représenté dans les images ci-dessous, parce que ce sera normal. Il est très important que tu saches que dessiner une aura n’est jamais comme la voir en vrai, parce que certaines émotions traduites en couleurs apparaissent et disparaissent en quelques secondes, donc ce serait impossible de reproduire parfaitement le champ énergétique d’une personne sans rien négliger. En outre, ce n’aurait pas de sens de te montrer immédiatement un exemple précis et détaillé de ce que je vois pendant la session de vision des auras, parce que non seulement il te paraitrait difficile à comprendre, mais cela risquerait même de te confondre et créer des attentes excessives, qui bloqueraient totalement ton évolution. Pour cette raison, je commencerai par te montrer des dessins simplifiés qui représentent les premières expériences que j’ai eues avec l’aura, pour aller peu à peu à fond dans les prochains articles, où je te montrerai davantage de détails et des dessins plus soignés. Rends-toi compte que pour reconnaître ces expériences tant que réelles, tu dois pratiquer les techniques pendant tes journées, et non pas te limiter à lire mes articles, parce que autrement tu continuerais la lecture sans comprendre nullement combien d’informations sont présentes et leur importance. À ce propos, je t’invite à ne pas regarder les images dédiées à l’aura dans les prochains articles seulement par curiosité, bien que tu n’aies mis en pratique aucun des conseils appris dans les leçons précédentes, parce que les dessins n’ont pas le but de te suggestionner, mais de te faire vérifier que ce que tu vois est juste. Ne te force pas à accélérer ton évolution en espérant que seulement en regardant quelques dessins ton expérience puisse accélérer : tu dois pratiquer, si tu veux les épreuves que tout cela est réel.
La première image montre la façon dont on représente généralement les auras.
Comme tu peux le voir, l’aura est représentée comme une forme parfaitement régulière qui entoure complètement notre corps avec la même densité, couleur et lumière. En réalité, tes premières expériences te montreront que sa forme sera beaucoup plus floue, imprécise et irrégulière, à peu près comme sur l’image ci-dessous.
Pendant tes premières expériences, tu remarqueras les difficultés à voir l’aura même pour quelques secondes, ne t’y attend pas de la voir parfaitement régulière comme si on l’avait vernie. Sur d’autres images tu pourrais remarquer que l’aura est représentée comme une silhouette qui nous entoure mais ne nous remplit pas, comme sur l’image qui suit :
Également sur cette image on montre l’aura comme si elle était parfaite et uniforme. En ce cas il est possible de mal interpréter la zone blanche de l’aura, en se convaincant qu’il s’agit de la distance entre le corps et l’aura céleste : en réalité, la bande blanche fait également partie de l’aura, voulant représenter à la fois la lumière émanée par le sujet et la deuxième couche, qui dans ce cas est de couleur céleste. En tout cas, si nous voulions rendre le dessin un peu plus réaliste, on le ferait comme ça :
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Sur les images ci-dessus, il peut paraître que l’aura entoure le corps sans pourtant le pénétrer, comme si l’énergie était une partie supplémentaire et externe qui ne nous appartient pas pour de vrai. En réalité, si nous voulions montrer l’aura dans son intégralité, nous devrions voir tout le corps à la fois à l’intérieur et à l’extérieur rempli d’aura, donc de la même couleur de la première couche, qui dans ce cas est céleste, parce que chaque couche de l’aura nait de l’intérieur pour ensuite s’épandre à l’extérieur. Si donc nous voulions voir l’énergie au complet nous devrions imaginer quelque chose de pareil :
Comme l’énergie nous remplit et nous complète, elle est dedans et dehors. À ce point nous devrions ajouter une autre couche d’aura d’une couleur différente pour pouvoir le reconnaître, bien que ce ne soit pas forcément comme ça aussi dans la réalité : certaines couches pourraient être de la même couleur, mais pour faire simple je te les montrerai de deux couleurs différentes.
Ici également nous voyons comme l’on nous montre l’aura sur le web, et comme au contraire nous pourrions la voir en vrai avec nos propres yeux :
On est déjà en train de parler de niveaux plus avancés, par rapport aux premières expériences que tu obtiendrais, ayant juste commencé à méditer. En tout cas, quand tu seras capable de voir la première couche et te pousseras un peu plus loin, tu pourrais entrevoir le deuxième, qui se montrera à peu près comme sur le dessin. En ce cas nous pouvons remarquer la lumière blanche, la deuxième couche et la troisième. Considérant que la troisième couche verte aussi nait de l’intérieur du corps pour ensuite s’épandre beaucoup plus amplement de celui céleste (et c’est pour cela que nous en reconnaissons la différence), nous devrions imaginer l’intérieur du corps humain à peu près comme ça :
À travers un dessin il est difficile de montrer le chevauchement des couleurs, en effet ils se mêlent et on ne peut plus reconnaître l’un de l’autre. En réalité, pourtant, les couleurs de l’aura ne se mêlent pas de cette façon, en conséquence à l’intérieur du corps nous verrions le céleste et le vert comme deux niveaux distincts. Clairement les couleurs ont été choisis au hasard, tout comme leur ordre. Si enfin nous voulions ajouter une autre couche, voilà l’effet final :
Je tiens à préciser que ces dessins sont seulement des esquisses où j’ai évité d’ajouter de détails que tu n’aurais pas immédiatement saisi : j’aurais dessiné l’aura de la tête beaucoup plus allongés et celle des pieds plus courte, j’aurais changé de couleur dans la zone des épaules et nuancé un peu plus les contours, si j’avais eu assez de place. En effet, dans le dessin il peut paraître que les couches sont distants de peu de centimètres, mais en réalité certains d’entre eux sont distants même de quelques mètres l’un de l’autre. À ce point il faut comprendre qu’avant de voir les autres couches il faudra s’entraîner pour bien voir au moins le premier.
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Le halo blanc généralement est le premier signe qu’on peut remarquer, parce que il s’épand du corps comme une lumière qui se veut montrer, continuant à s’allonger vers le haut jusqu’à ce que tu ne clignes pas des yeux. Chaque personne pourtant a de différentes couleurs dans l’aura, et aussi la façon de les voir est différente : parfois tu pourrais remarquer le halo blanc avant et ensuite le reste, d’autres fois le premier halo qui se montrera pourrait être jaune ou céleste. En tout cas, à la fin, ils appartiennent tous à la première couche de lumière qui s’épand. Pour te considérer satisfait de ta vision, on devrait voir au moins 10 centimètres d’épaisseur blanc avant de prétendre le pas successif. Ensuite, en t’entraînant toujours de la même manière, tu pourrais commencer à voir les couleurs, étant celles-ci un peu plus lentes à arriver. Il faut beaucoup de patience, parce que l’œil n’est pas habitué à voir l’énergie, donc il lui faudra un peu de temps pour s’habituer. Évidemment les améliorations arriveront si on parle de personnes qui décident de pratiquer, autrement l’œil ne s’évoluera jamais. En tout cas, il faut s’y mettre sans se rendre, parce que les premiers temps ce sera complexe de voir les couleurs et maintenir la vue active, mais quand tu apprendras à les voir, si tu continueras à t’entrainer, ce deviendra plus facile de les reconnaître en employant moins de temps. Ce soit clair qu’on ne peut pas inventer la couleur de l’aura : elle possède une couleur principale, et toutes les personnes qui la regardent le verraient égale. Je te rappelle que ce n’est pas facile de représenter fidèlement une aura à travers une image, parce quand tu la regardes en vrai on peut parler de moments où une nouvelle couleur se présente et après disparaît, pendant que dans le dessin je devrais les insérer sous ensemble et ce deviendrait un mélange incompréhensible, pour cela je devrai procéder par étapes et dessiner à chaque fois de nouveaux modèles ; autrement ce serait comme photographier quelqu’un en train de bailler et croire que c’est la vraie forme de son visage. Dans ces dessins j’ai voulu colorer les auras sans trous et imperfections pour faire simple, mais dans les prochaines leçons je les montrerai de plus en plus proches du réel, en ajoutant de détails importants que tu apprendras à voir avec le temps. Qu’il soit clair que tu ne devras pas te presser finissant pour te suggestionner : fais tes techniques au même rythme que la théorie, pour pouvoir en cueillir la vérité à travers ton propre expérience personnelle. Cela dit, la lecture des documents ne t’impose pas de pratiquer, donc si tu désires lire les articles accessibles même pour ta culture personnelle, personne ne t’empêcherait. Mon conseil est de commencer à pratiquer au moins 10 minutes chaque jour après la méditation, parce que voir l’énergie résultera plus simple. Je t’attends aux prochaines leçons.
Fin de page 5 sur 5. Si tu as aimé cet article, commente ci-dessous en décrivant tes sensations pendant la lecture ou la pratique de la technique proposée.
Ce document est la traduction de l’article originel https://www.accademiadicoscienzadimensionale.com/archives/17650du site Accademia di Coscienza Dimensionale.